bulletin n°2 ** juin 2009 ** fondateur : Philippe Moisand
Voilà donc le numéro 2 du Chardenois que l’accueil chaleureux réservé au premier numéro par un certain nombre d’entre vous nous incite à produire et à diffuser assez rapidement. Mon premier souci, à ce stade, est le niveau de diffusion qui reste apparemment encore limité du fait du nombre insuffisant d’adresses internet dont je dispose. N’hésitez donc pas à relayer l’information sur l’existence du blog à tous vos proches et à les avertir lorsqu’un nouveau numéro du Bulletin y est inséré. Vous pouvez aussi me communiquer les adresses qui me manquent et que vous connaissez.
Sur le contenu, j’ai reçu diverses suggestions, mais pas encore de contributions. Ce serait bien d’avoir les deux, car il me semble que ce que nous avons mis en place doit être totalement interactif, sauf à devenir la « chose » de Gaëtan et Philippe Moisand, ce que nous ne souhaitons ni l’un ni l’autre et que nous ne pourrions d’ailleurs pas assumer seuls dans la durée.
Les rubriques développées ci-après vous montrent qu’il n’y a pas de limite (sauf celles que la décence impose, naturellement !) aux thèmes que nous souhaitons y voir traités. On reste sur Longchamp et son histoire, avec l’article de Gaëtan sur Robert Picault et son apport artistique à la faïencerie. Mais on s’éloigne un peu vers les coups de cœur dont tout un chacun peut faire profiter les autres, avec le compte rendu de mon escapade andalouse. Enfin, on revient à la famille avec un début de carnet de famille qu’il vous appartient d’alimenter et le point sur le rassemblement familial de 2010.
A vos claviers donc et surtout parlez-en autour de vous.
N.B. 1 (déjà signalé dans le « bonjour à tous », mais sans doute vaut-il mieux le dire deux fois plutôt qu’une) : De façon quasi systématique, les titres de chaque article sont précédés d’une image réduite à l’état de « vignette ». Pour voir l’image agrandie, il suffit de cliquer sur celle-ci avec le curseur (la flèche se transformant alors en main avec l’index pointé vers le haut). On revient au texte en cliquant en haut à gauche de la barre d’outils sur la flèche orientée vers la gauche. D’autres images insérées dans le texte sont de même nature et peuvent être regardées en agrandi de la même manière.
N.B. 2 : Les articles non signés sont de Philippe Moisand
La série bleue de Robert Picault
par Gaëtan Moisand
D’autres que moi devraient pouvoir, dans le cadre de ce journal, rendre hommage à leur tour à Robert Picault qui a tant apporté en décors et modèles originaux aux Faïenceries de Longchamp. Parce qu’ils l’ont mieux connu que moi et qu’ils en savent davantage.
Je souhaite lui rendre hommage ici à ma façon en mettant en valeur une production d’oeuvres originales, datant toutes de 1973. A cette époque, tout en ayant conservé sa fabrique de Vallauris, Robert Picault a pris la Direction Artistique des Faïenceries de Longchamp. Il a acheté avec sa femme Nelly une maison à Valay, petit village de Haute-Saône, à mi-distance de Besançon et de Longchamp, situation idéale pour quelqu’un amené à travailler autant pour l’usine de carreaux de Besançon-Casamène que pour celle des services de table de Longchamp.
Lorsqu’il passe sa journée à Longchamp à cette époque, Robert Picault ne rentre pas à déjeuner à Valay et se fait volontiers inviter par mes parents à la Villa. Pour se faire pardonner (en avait-il vraiment besoin !?), RP offre régulièrement à ma mère un plat ou une simple assiette décorés par lui-même et aux motifs variés: têtes de femmes (thème plutôt rare chez Picault) dont la plupart sont magnifiques, oiseaux traités à la manière Picault et même quelques paysages de la région dont celui de Perrigny-sur-Ognon. Une nature morte, également.
Variété des thèmes mais unité de la couleur, le bleu, qui était devenu, me semble t’il, sa couleur de prédilection alors que la couleur dominante de sa grande période à Vallauris était le vert.
A vrai dire, RP se sentait un peu obligé de créer puis d’offrir ces pièces originales : c’est lui qui avait conçu la nouvelle décoration de la cuisine de la Villa et il fallait bien combler les vides du vaisselier qu’il avait lui-même créé. Ceci dit, la production généreuse de RP dépassa rapidement les limites du vaisselier !
Plus que de longs discours, le mieux est de regarder cette production (en cliquant en bas de cet article sur « voir l’album » et en n’oubliant pas si ce n’est déjà fait de se mettre en mode « plein écran » via la touche F 11, c’est en effet indispensable pour regarder confortablement un album comme celui-ci)
Vous apprécierez, je pense comme moi, à travers ces oeuvres originales la ligne de son dessin, à la fois simple et dépouillée et en même temps si personnelle qu’on reconnaît un RP entre mille.
Coup de cœur : Escapade andalouse
Non, rassurez-vous, je ne vais pas vous faire le coup du guide touristique et vous vanter les charmes orientaux de l’Alhambra ou la magnifique forêt de palmiers de pierre de la Mezquita. Vous connaissez déjà ou vous en avez suffisamment entendu parler. Je voudrais simplement vous dire combien j’ai aimé ce retour vers l’Andalousie, près de 40 ans après la première visite que nous lui avions rendue, Géraldine et moi, et aussi de nos coups de cœur ressentis, loin des sentiers battus par les nouvelles hordes caquetantes, bien qu’inoffensives, des « temps modernes ».
La saison, tout d’abord. Difficile d’imaginer, quand on a gardé le souvenir d’une fin d’été caniculaire et d’une végétation rabougrie, combien l’Andalousie peut être douce et fraîche, verte et luxuriante, odorante et parfumée à la fleur d’oranger, dans les premiers jours de mai. Certes, cette période n’est pas accessible aux esclaves de la feuille de paie. Mais que les seniors ne s’en privent pas. La vue de l’Albaicin (esplanade de l’église Saint Nicolas) sur l’Alhambra et les cimes enneigées de la Sierra Nevada est un enchantement, particulièrement en fin de journée, qui à elle seule vaut le voyage.
La feria de Séville ensuite. Elle a lieu dans les premiers jours de mai et le seul problème est le doublement du prix des chambres d’hôtels. Par rapport à la Semana Santa, très prisée des touristes, elle semble être d’abord et surtout un évènement local, ce qui lui confère un charme et une authenticité tout particuliers.
De quoi s’agit-il ? Contrairement aux idées reçues, cela n’a rien à voir avec les courses de taureaux, même s’il y a, presque nécessairement (nous sommes en Espagne), concomitance entre les deux. La feria, c’est tout simplement la foire. Historiquement une foire aux bestiaux qui se tenait aux abords de la ville sur une grande esplanade et qui était sans doute l’occasion de nombreuses festivités. Aujourd’hui, les bestiaux ont disparu, laissant la place libre au paseo, cette tradition de la promenade de la « tarde » dans les villes espagnoles. Mais ici, le paseo prend une dimension particulière.
Imaginez cette grande esplanade traversée par de belles avenues ombragées, le long desquelles viennent s’agglutiner des centaines de « casettas » et sur lesquelles déambulent les belles andalouses et chevauchent de fiers cavaliers. Les casettas sont en fait des tentes multicolores où les grandes familles régalent leurs invités, ou plus simplement des restaurants et bars à tapas pour tous ceux qui n’ont pas la chance de faire partie, de près ou de loin, de l’aristocratie locale.
Chacun sort ses plus beaux atours andalous, ou les loue à prix d’or, et se donne rendez-vous à la feria tous les après midis de la semaine pour voir et être vu. Le grand chic est de monter dans une des nombreuses calèches sorties de leurs remises pour l’évènement et tirées par de somptueux attelages de chevaux pomponnés, et de faire inlassablement le tour des lieux, s’offrant ainsi aux regards d’un public bon enfant. Un vrai spectacle permanent, où le touriste se noie complètement dans une foule bigarrée.
Les pueblos blancos des Alpujarras et de la région de Ronda. Ils ont en commun la particularité de s’accrocher au flan des montagnes et de parsemer leurs versants verdoyants de larges taches blanches.
On atteint les Alpujarras en quittant Grenade par le « Suspiro del Moro », ce petit col où Boabdil, le dernier des califes, partant pour l’exil, s’est retourné une dernière fois pour dire adieu à sa capitale et écraser une larme. On quitte ensuite la grand’ route pour rejoindre Lanjarron. C’est dans cette région, difficile d’accès, que se réfugièrent les « moriscos », ces musulmans qui refusèrent d’accompagner Boabdil dans son exil pour demeurer sur la terre qui les avait vu naître. Les villages sont nombreux et mériteraient tous de s’y arrêter plusieurs heures pour déambuler dans leurs ruelles étroites et escarpées, admirer cette architecture très typée qui fait penser aux villages marocains. L’eau sourd de partout et de belles fontaines permettent au passant de se désaltérer à loisir. L’air est pur et léger au point que la région s’est fait une spécialité de faire sécher les jambons de montagne, qu’on voit souvent orner le plafond des bistrots. Pampaneira, Bubion, Capileira et Trevelez (trois vallées) sont les noms des villages que nous avons visités. Mais je suis sûr que Mecina-Fondales, Ferreirola et autres Portugos méritent également de faire partie de cette promenade rafraîchissante.
Ronda est située plus à l’Ouest, entourée de plusieurs sierras dont la Sierra de Grazalema. Là encore s’accrochent au pied de falaises troglodytes ou au sommet de petites montagnes d’innombrables villages blancs, parfaitement conservés dans leur environnement naturel, sans pollution architecturale moderne. Nous avons visité Setenil, Olvera et Arcos de la Frontera, et manqué, faute de temps, Ubrique, El Bosque, Grazalema et tant d’autres encore. Tout cela n’est pas comparable aux hauts lieux déjà cités, mais c’est tellement frais et tranquille.
J’ai gardé pour la fin Francisco de Zurbaran, peintre andalou de moindre notoriété que Velasquez, Murillo, Goya ou Picasso, mais d’un tel talent qu’il peut sans conteste leur être comparé. On le trouve au musée des beaux arts de Séville, d’abord dans l’ancienne chapelle, avec notamment une superbe Apothéose de saint Thomas d’Aquin, puis dans la salle qui lui est consacrée à l’étage du musée où l’on voudrait pouvoir rester des heures pour admirer son célèbre Saint Hughes au réfectoire des chartreux, mais aussi tant d’autres belles toiles.
Les circuits touristiques évitent généralement Marchena, petite ville située entre Séville et Grenade, à l’écart de la grand’ route. C’est une erreur, car non seulement la ville est plutôt jolie, mais encore la sacristie de l’église Saint Jean Baptiste renferme pas moins de neuf toiles de l’artiste. Encore faut-il, pour accéder au lieu, prendre le temps de mettre la main sur le « padre », souvent parti pour donner la communion aux malades ou consoler une misère, mais votre patience sera récompensée par cette belle collection de tableaux des apôtres et de l’Immaculée Conception.
Cadix n’est pas beaucoup mieux considérée pour ses attraits touristiques. Son musée des Beaux Arts recèle pourtant une remarquable série d’œuvres de Zurbaran transférées de l’ancienne chartreuse de la ville voisine de Jerez de la Frontera (celle qui a donné son nom au célèbre Xérès). J’ai surtout gardé le souvenir d’un très beau San Lorenzo (saint patron de l’Espagne), de plusieurs saintes figures de l’ordre des chartreux, son fondateur, Saint Bruno et le célèbre Saint Anthelme encapuchonné, ainsi que de deux archanges aux couleurs chatoyantes.
Ce que j’ai aimé chez ce peintre trop peu connu et reconnu, c’est d’abord sa modernité, surtout quand on le compare à la peinture baroque assez mièvre et conventionnelle de Murillo, son illustre contemporain. C’est aussi sa palette de couleurs, blancs et gris des vêtements monacaux, ocres des fonds de toiles. Bref, une véritable (re)découverte que je recommande aux amateurs de peinture.
Rassemblement familial : la cousinade
Le projet tient toujours pour l’automne 2010 à Longchamp, d’autant qu’il a été bien reçu par un certain nombre d’entre vous. Il faudra valider tout cela quand nous aurons la certitude d’avoir accès par internet à la majorité, voire la totalité, des cousins et cousines et leur descendance.
En attendant, un comité d’organisation est en cours de mise en place comprenant, outre Mamie et un représentant de la branche Robert, Annie Bernard/Andrier, Marie Hélène Duffour/Froissart, Guy Moisand, Daniel Moisand, Jean-François Pruvost (confirmation attendue de sa part). Une première réunion est prévue à l’automne.
Vous ne trouverez pas le mot cousinade dans le dictionnaire. Je l’ai découvert l’an dernier chez de bons amis provençaux qui envisageaient de réunir leurs cousins à Belle Ile en Mer. Et je viens tout juste de le retrouver dans un dossier publié par le journal La Croix daté du 3 juin. Je me propose de l’utiliser désormais parce qu’il sonne bien (mieux en tout cas que ce banal rassemblement que j’utilisais jusque là) et qu’il est plus parlant.
Je constate en lisant ce dossier que nous ne faisons pas preuve d’originalité tant le concept semble maintenant développé en France. Mais qu’importe : l’essentiel est que notre réunion corresponde à une véritable attente et que l’évènement soit réussi. Je constate également que, d’après les spécialistes de la question (il y en a déjà beaucoup!!!), il y a toujours, à l’origine de chaque cousinade, une généalogie et un généalogiste passionné. J’avais d’ailleurs envisager de confier à Daniel, bien connu pour son excellent travail de généalogiste, le soin de tout organiser, mais il avait prévu le coup et signalé par avance qu’il ne serait vraiment disponible qu’à la fin de l’année, après son départ en retraite.
Cette rubrique apparaît pour la première fois. Elle me paraît incontournable pour un bulletin de ce type, même si dans mon esprit, elle ne doit pas occuper toute la place. On essaiera donc de diffuser toutes les informations qui nous seront transmises.
A ce jour, une nouvelle d’importance : Yvonne Guyot/Moisand (branche André) fête ses 90 ans le 11 juillet prochain à Chevannes, près d’Auxerre.
Daniel Moisand évoque ici cette fête :
« Nous avons décidé de lui faire souffler ses 90 bougies , avec quelques mois de retard, dus à mon frère Jérôme, installé aux Etats-Unis depuis de nombreuses années avec sa smala scolarisée là-bas.
Nous réunirons donc toute sa descendance dans l’Yonne, à Chevannes près d’Auxerre où j’ai depuis quelques années une vieille ferme que nous restaurons petit à petit, susceptible de nous accueillir et qui présente l’avantage d’être située à quelques kilomètres seulement des lieux qui ont marqué son enfance, puis la nôtre : Escolives, Seignelay, sont des noms dont les ainés d’entre vous se souviennent certainement.
Nous aurions bien sûr aimé réunir autour d’elle ses amies et toute sa famille, frère, soeur, belles-soeurs, neveux et nièces ; cela est malheureusement impossible, « la Vignotte » n’est pas « le Chardenois » ; sauf peut-être par l’intention : un message d’amitié, d’affection , qui lui serait adressé par chacun d’entre vous.
Ce petit mot peut être une simple carte ou un courrier mail pour les plus modernes – si vous optez pour la poste traditionnelle, nous l’adresser de préférence à Chevannes.
Tous ces messages lui seront remis dans une corbeille le jour de la fête et je peux vous assurer qu’elle y sera très sensible, elle est toujours à l’affût des nouvelles que nous pouvons lui donner des uns ou des autres.
Merci d’avance de votre participation.
Affectueusement à tous
Geneviève et Daniel MOISAND
2, rue Pascal – 95270 CHAUMONTEL
« La Vignotte » – 1, rue du Moulin à Vent – SEREIN – 89240 CHEVANNES
tél : 06.63.61.67.10 - 01.34.09.98.75
e-mail : daniel.moisand@free.fr
Bon anniversaire donc et bonne fête avec sa famille à tante Yvonne.
Dans la branche Robert, signalons :
le mariage de Céline, dernière fille d’Elisabeth Moisand/Gresset et de Jacques Gresset avec Jean-Charles. Ce sera également le 11 juillet à Longchamp
la communion privée d’Adèle et Clara, filles de Raphaël et Sophie Moisand pour la première, d’Alexis et Patricia Moisand pour la seconde, toutes deux petites filles de Géraldine et Philippe Moisand au mois de juin
Bonjour Gaêtan,Bonjour Philippe,
Je découvre ce jour le blog du Chardenois. Voilà une idée bien Moisand. En effet, je définirais le Moisand comme quelqu’un qui, à l’évocation du thème de la famille, la sienne bien entendu, ressent une excitation toute particulière.
Ainsi ce blog arrive comme une évidence, un peu comme le doudou que l’on serre contre soi et qui apporte une douce et délicieuse réassurance.
Mais oui, faisons-nous du bien ! Parlons de nous. Nous sommes tellement formidables !
Et oui, j’avoue. Voir ces photos de Longchamp, entrer virtuellement dans le Chalet et admirer les cavaliers (nos ancêtres bien sûr ! – c’est peut-être eux, d’ailleurs, qui m’ont donné le goût de monter à cheval), admirer ces superbes fayences de Picault (j’ai moi-même, dans l’armoire de notre salon, le service à poisson, dont je vous ferai profiter si je parviens à me réconcilier avec l’appareil photo et l’ordinateur), oui, tout cela me touche.
Et je dois dire aussi en te rendant hommage Gaëtan concernant l’article sur Picault, que grâce à l’histoire que tu nous racontes, les fayences que l’on peut voir à Longchamp (ou dans l’armoire de mon salon) reprennent vie. Et l’histoire bien sûr, je pourrai moi-même la raconter à mes enfants… Quoi de plus merveilleux ?
J’ai pu observer également avec plaisir que Jean-Charles et moi figurons en photo sur le blog et que Jean-Charles vous salue du chapeau ! Nous espérons en effet que la fête du 11 et 12 juillet sera belle. La villa se prête évidemment merveilleusement à ce genre de manifestations.
Bise à tous,à ceux que je connais, mais aussi, allez, j’ose,à tous les cousins et issus de germains dont je n’arrive jamais à retenir le nom. Qu’ils me pardonnent !
Céline
Réponse de Gaëtan à Céline :
Ton commentaire plein de malice et de douce moquerie me plaît bien !
Je sens que le doudou dont tu parles si bien est aussi le tien et que malgré la distance (il est vrai que Longchamp paraît si loin et si petit, vu des « hauteurs jurassiennes »), tu parles de Longchamp comme une vraie Moisand que tu es (aussi !).
Je te souhaite ainsi qu’à Jean-Charles la plus belle fête qui soit, à Arbois comme à Longchamp. Tu as raison : la Villa se prête merveilleusement à ce genre de manifestations.
Ceux, dont je suis, qui ont gardé cette maison ouverte jusqu’à présent te remercient chaleureusement d’avoir pensé à Elle pour ta Grande Fête.
G.
PS : sors vite le service à poisson de ton armoire, car ce sont sans doute des pièces rares et belles, et nous rendrons ainsi hommage à Picault une 2ème fois ! Pour les photos, je veux bien t’aider !
Je découvre avec beaucoup d’intérêt le site ! Bravo à tous ! De mon côté, je suis partante pour une cousinade en 2010 !
Caroline Boyer-Girard, petite-fille de Christiane Moisand-Bernard (branche Nicole)
PS : Je crois en effet qu’un arbre généalogique des descendants de Gaëtan et Hélène sera vite indispensable …
Coup de chapeau, Philippe, pour un n° 2 aussi rapproché.
Un commentaire ou plutôt une rectification : merci pour « l’excellent travail de généalogiste » que tu as cité, mais ce compliment aurait dû plutôt être adressé à mon épouse Geneviève.
C’est elle qui m’a entraîné dans sa passion, sans elle j’en serais certainement resté aux remarquables tableaux déjà établis par notre oncle Olivier, qui me faisaient rêver pendant mon adolescence.
Elle a passé (et m’a fait passer) de nombreuses heures de recherches dans les archives, nationales et départementales, ainsi que chez les Mormons au départ, puis, le développement d’Internet aidant, devant l’ordinateur. Elle m’a fait visiter X villages de France où il pouvait y avoir trace d’un ancêtre. Grace à elle, j’ai pu commencer à comprendre la vie de ces derniers en les replaçant dans leur contexte historique, elle a, d’autre part, établi des liens amicaux avec des « cousins » généalogistes, descendants eux aussi de nos lointains géniteurs.
C’est Geneviève enfin qui a mis en ligne cette généalogie :
http://gw.geneanet.org/gdm
aller ensuite à l’accès amis : nom utilisateur : moisand
mot de passe : dya95
pour des raisons légales, la généalogie en ligne s’arrête à nos grands-parents, nos parents sont cités, mais sans dates.
Nous avons toutefois également un tableau de la descendance que nous essayons de tenir à jour, à disposition de chacun.
Dernier commentaire : OK bien sûr pour une réunion préparatoire de la « cousinade » (c’est effectivement le terme généalogique) cet automne.
Petit à petit et pas à pas, le blog se diffuse … dans les ramifications de notre belle famille.
Voici un email de plus à ajouter dans la liste de diffusion pour la branche Girard, de Véronique, fille de Nicole, chez Christiane Bernard. Je suis la 3ème, avant Caroline Boyer-Girard
Et un grand applaudissement pour l’idée de la cousinade.
à mon tour de découvrir le site : c’est très sympa, instructif et passionnant ! j’ai imprimé et lis çà comme un « roman »
je suis très intéréssée par cette « cousinade » et Tante Mamie m’a demandé si je voulais assurer le lien pour les « Marcel » : bien-sûr ! en fonction de mes petits moyens informatiques, car je suis plutôt : papier, gomme !
pour le carnet de famille : naissance du 3ème enfant de ma fille Marie : Damien le 11 octobre à Pau !
je précise mon « identité » : Catherine, seule fille de Marcel et Annie Moisand !
j’habite près de Pau, donc près de Yvon, notre cousin aîné !
voilà pour un 1er contact, bravo pour les bulletins ! à bientôt !
Hello! on voit dans ce site beaucoup de travail un grand bravo! je suis une grande amie d’Adèle Moisand et c’est elle qui m’a dit d’aller jeter un coup d’oeil sur ce site ……… Voila voila j’espère que ce petit commentaire fera plaisir . Bye bye et de gros bisous a ADELE <3<3<3<3<3<3<3<3<3